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La presse en parle

"Si elles étaient un film, ce serait La Strada.

A moins que ce ne soit Talons Aiguilles.
Une ville ? Berlin, Barcelone ou Marseille.

Un mythe ? Celui des Amazones…
Chanson house rock pour musiques hybrides,

affinités electro et penchants orientaux,

high tech et musique ancienne…"
(La Provence, 2005)



 

«Un duo de filles, entre rock surréaliste et réalité urbaine»
(Le Figaroscope, 97)

 

 

« Belladonna 9CH, incontournables amazones qui débrident les conformismes,
rejettent les conventions, mêlent punk et electro, kumbia et Balkans,
la bombarde et la guitare électrique, le tout sans jamais se prendre au sérieux. »

(La Marseillaise, Nov 2010)

 

"Belladonna9CH sort son 6e album: Le Bal des Loups-Garous"!
,Leur nouvel opus affirme en 10 chansons le virage "cabaret balkanique" du groupe tout en gardant la couleur electro/humoristique des albums précédents.
Un duo marseillais d'amazones décalées qui manie le texte et la cornemuse avec délectation!"

(Marseille l'Hebdo, Mars 2013)

 

 

"Les deux amazones déjantées de la scène electro glam rock marseillaises sont de retour:entre instruments d'hier (cornemuse, bombarde..) et d'aujourd'hui (guitare), sans oublier l'indispensable saxophone, entre émotion et autodérision, décalées et endiablées.." (La Marseillaise, Mars 2009)

"Mélangeant chanson réaliste et costumes cyber-punk, boucles vidéo et basses électro, un concert de Bella 9ch est toujours une expérience complète entre cabaret déglingué et tour de chant. "

(L’Express Mag, Novembre 2006)



« Belladonna 9CH parachève son passage du rock à I’electro. Glamour trash et humour corrosif (..) Duo rock un tantinet déjanté, qui a poussé sur le terreau du milieu alternatif au début des années 90. » (Marseille l’Hebdo, 2006)



«Si la vie vous paraît trop dure, si la nuit qui tombe à 16 heures vous démoralise, allez me soigner çà tout de suite avec BELLADONNA9CH, duo féminin rock-guinguette-techno. C’est émouvant et drôle, révolté et tendre»
(Le Nouvel Observateur, 18 Dec 2000)

 

«Une ambiance chaleureuse et loufoque, avec des costumes qui valent le détour, entraînant le public dans une vaste fête à l’énergie débridée»
(La Marseillaise, 20 Juin 2000)


« .. En trois albums à la densité rare, nos sorcières cyber-punk ont inventé un genre : le techno-groove-beat-guinguette (avec de vrais morceaux de new-wave dedans), qu’elles n’ont cessé de peaufiner. Un ouvrage sans cesse remis sur le métier, indissociable du versant spectaculaire de son expression scénique : latex SM, casseroles Manufrance, sonorités high-tech et instruments médiévaux. Morsures, leur dernier opus, avait la douceur du satin et le charme vénéneux des matins de solitude. »
(La Marseillaise, 22 Nov 2003)

 

«Les deux Marseillaises Agnès et Michèle font exploser les mots, torturent les idées reçues et combinent une irrésistible alchimie sensuelle, décapante et poétique. Les textes se lovent dans un insolent mélange musical : techno, oriental, guinguette, électro-extravagant, rock. Le cocktail fonctionne et les sens s’ébouriffent de plaisir. La voix, superbe, change au fil des ambiances, faisant de chaque chanson un véritable film»
(Tabloïd, Mars 99)

 

 

FanzYo, Mars 2016

 

 

«Une touche de folie, un brin de provocation, une bonne dose d’humour et de dérision…Un goût pour le mélange des genres et le brassage des cultures: elles nous font voyager
(Ouest France, Juillet 98)


«Personnages extravagants,baroques et terriblement sympathiques…Sexy-show mi-féroce, mi-comique…Jeu scénique jamais arrogant mais totalement décalé…Présence scénique spectaculaire et irrésistible»
(La Semaine des Spectacles, 98)

 

«Marseilles»: cocktail explosif – album définitivement branché. Univers bien mystérieux, à la manière d’un labyrinthe dans lequel on est heureux de se perdre»
(Platine, 98)


«Humour dada – expressioniste, cirque pictural et musical, théâtre cruel et sensuel. De Nina Hagen et Rita Mitsouko, elles ont hérité le goût de l’outrance kitsch. De Gainsbourg, Queneau ou Vian, cette propension à se jouer des mots pour mieux les faire mordre»
(Midi Libre, 98)

 

«Les turbulentes BELLADONNA9CH…tenues SM-bricolage, mélange d’ instruments anciens – cornemuse, etc – et de groove techno, chansons féministes, antifascistes, saphiques, orientalisantes ou juste mélancoliques»
(Libération, 97)


«Marseilles»: un profond humanisme…l’atmosphère des dance-floor se mêle aux couleurs expressionnistes, au sensible naturalisme de la guinguette, en une impeccable cohésion mâtinée d’humour et de mélancolie…une formidable harmonie musicale»
(La Marseillaise, 97)

 

«Une sculpture sonore en mouvement…de belles montées d’adrénaline, des envolées électro très réussies…Univers étrange, textes envoûtants et remplis d’émotion …troublantes mélodies…un remède à la morosité»
(LM 97)

 

«Musique résolument moderne, techno-bidouillages agrémentés d’instruments médiévaux, chansons résolument «de femmes», hymne au saphisme, à l’amour libre, salut aux femmes d’Algérie, bras d’honneur au sida comme au fascisme…Et le tout laisse une impression de pureté.»
(Libération, 97)

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